Communiqué de la société ARTPRICE du 19/11/2017
Artprice: le record pour Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci démontre que l’Industrie Muséale (R) révolutionne le modèle économique du Marché de l’Art
Le consensus d’estimation du prix pour le tableau Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci a été atomisé, à la grande surprise de certains observateurs, choqués et sidérés par le montant final de l’enchère: 450,3 millions de dollars. En tant qu’Auteur et concepteur de l’Industrie Muséale ® qui révolutionne le modèle économique du Marché de l’Art, Artprice qui est au cœur de cette fusion entre le Marché de l’Art et le monde de la Finance se doit d’intervenir.
Artprice sollicitée par de très nombreux médias en sa qualité de Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art, démontre de manière incontestable dans le présent communiqué que le montant de cette adjudication est l’aboutissement d’une construction d’un prix où émotion incontrôlée et risque inconsidéré sont totalement absents.
thierry Ehrmann fondateur et PDG d’Artprice: « Si on relit attentivement chacun de nos communiqués sur le site homologué de l’AMF et nos études sur l’Industrie Muséale ® dont Artprice a entièrement conceptualisé le modèle économique dès 2005, on se rend compte que notre département d’économétrie et statistiques a préparé le Marché de l’Art depuis des années à ce prix. Nous avions émis pour le Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci une fourchette de 450 à 500 millions de dollars comme le rappelle l’Agence de presse AOF.
En effet nous avons été les seuls à déclarer à maintes reprises par des études (Document de référence AMF) que le record se dirigeait inexorablement vers le cap du milliard de $ avec un palier à 500 millions de $. C’est chose faite avec l’adjudication du Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci.
Nous évoquons cet incroyable prix dès Février 2015. Nous sommes désormais pratiquement à mi-chemin, et il est inéluctable que notre prévision se vérifie d’ici 2020. » Le Marché de l’Art aura des gaps à combler de records compris entre Les Femmes d’Alger de Pablo Picasso à 179,4 millions de dollars en 2015 et les 450,3 millions de $ du Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci.
Les derniers records en Art Contemporain (anciennement le segment de second plan du Marché de l’Art) avec le Basquiat le propulsent dans le nombre croissant d’artistes ayant dépassé le seuil des 100 millions de dollars aux enchères.
Ils sont de plus en plus nombreux à rejoindre Picasso, Modigliani, Bacon, Giacometti, Munch, Warhol et Basquiat qui est un contemporain ! Il s’agit pour le Basquiat, en prenant tous les paramètres en compte, d’un véritable marqueur économique pertinent avec une performance que le Marché de l’Art n’avait jamais atteint pour l’Art contemporain qui sera elle-même dépassée cette année sur ce segment.
Ce n’est pas pour rien que Christie’s a eu un coup de génie en intégrant le Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci dans une vacation d’Art Contemporain au lieu de la traditionnelle vente en section Old Masters, où la finance, la Banque et le Marché de l’Art ne faisaient plus qu’un.
Preuve en est, selon les dires du photographe américain qui raconte pour Europe1 « la folle séquence de 19 minutes, atteignant des sommets encore inimaginables quelques instants auparavant, de l’avis même des spécialistes. Le tout dans une tension qui rappelle celle des salles de marché de Wall Street. »
A vrai dire, tout cela est fort logique. De manière très indépendante, Artprice a formalisé et protégé au titre de la propriété intellectuelle depuis des années le concept économique et financier de l’Industrie Muséale®.
Grâce à nos banques de données, les plus exhaustives du Monde, ce qui fait d’Artprice le Leader mondial de l’information du Marché de l’Art depuis 20 ans, en partenariat de longue date avec le puissant groupe étatique Chinois Artron, ce concept novateur de l’industrie muséale engendré par Artprice est devenu une science économique respectée et enseignée qui chaque jour, se valide de manière irrévocable.
thierry Ehrmann: « Cette nouvelle science économique dans le Marché de l’Art aspire implacablement les prix vers le haut. Premièrement, nous avons très vite observé le caractère exponentiel de la création des Musées dans le Monde. Effectivement selon notre méta étude, il s’est construit plus de Musées entre le 01/01/2000 et le 31/12/2014 que durant tous les XIXème et XXème siècles.
De même il se construit chaque année 700 musées sur les 5 continents à caractères internationaux avec un minimum de 4500 œuvres d’Art. Le soft power entre les grandes puissances comme la Chine qui domine désormais les USA sur le Marché de l’Art est un moteur géopolitique puissant pour le développement exponentiel de l’industrie muséale®.
C’est donc cette industrie dévoreuse de pièces muséales qui est le facteur majeur de la croissance spectaculaire du Marché de l’Art. Le Marché de l’Art est désormais mature, liquide et efficient, offrant des rendements de 12% à 15% par an pour les œuvres supérieures à
100 000$. Pour une œuvre muséale supérieure à 1 million de $ on atteint un rendement exceptionnel. Les œuvres millionnaires sont désormais monnaie courante en ventes publiques.
De nombreux fonds, au même titre qu’un nombre très important de Banques de gestion face au spectre des taux négatifs des grandes banques centrales et constatant la résistance du Marché de l’Art face aux pires crises financières et économiques de ces 17 dernières années, ont levé des fonds colossaux pour devenir des acteurs économiques de l’Industrie Muséale ® au cœur du Marché de l’Art.
Ces fonds de la grande finance et de l’industrie bancaire retrouvent leurs profits habituels dignes de ce nom avec l’assurance d’un Marché de l’Art efficient mature et liquide.
Par les outils d’aide à la décision d’Artprice qui sont très proches des écrans financiers Bloomberg, Artprice distribue des « Artprice Screen ® » au monde de la finance et de la banque. Les chiffres sont là : en 2005 moins de 7000 comptes clients de la finance et de la Banque étaient clients d’Artprice. Il s’agissait essentiellement du Private Banking et Family Office.
Ce sont désormais plus de 36 000 grands comptes incluant les Banques de dépôt ordinaires qui placent les écrans Artprice dans leur système informatique de gestion. On peut donc parler sans contestation possible d’une véritable révolution historique pour le Marché de l’Art.
Les projections en cours de la vente des abonnements « Artprice Screen ® » au monde de la finance et de la banque sont susceptibles de faire exploser le CA d’Artprice.
Les projections en cours de la vente des abonnements « Artprice Screen ® » au monde de la finance et de la banque sont susceptibles de faire exploser le CA d’Artprice qui est seul sur ce Marché de l’Art financiarisé où il possède par sa R & D et ses dépôts en propriété intellectuelle un monopole parfaitement légal résultant de son innovation, de sa recherche et son développement. Le label étatique BPI d’entreprise innovante le confirme pleinement.
De même Artprice constate que les grands musées à l’instar des salles de marchés sur les 5 continents se dotent chacune de dizaine d’écrans (Artprice Screen Multi User), les transformant en opérateurs financiers.
Chaque année Artprice, dans le strict respect des lois européennes, américaines et droit interne français sur les données personnelles, analyse son Big Data et ses algorithmes prémices de l’intelligence artificielle. Ce sont donc chaque année plus de 18 milliards de logs, gratuits ou payants (requêtes en temps réel) analysés par Artprice.
À partir des années 80, au moment où le Marché de l’Art commence à s’emballer, une série impressionnante de constructions, extensions, rénovations affecte le monde des musées dans les métropoles et les villes moyennes, mobilisant les architectes les plus réputés.
Parallèlement dès 1990, toute une génération d’industriels désirant imprimer durablement leur présence dans leur pays respectif se sont mis à bâtir un nombre incroyable de musées d’art contemporain, notamment en USA, Europe , Proche et Moyen orient et Chine.
Les musées sont de plus en plus monumentaux, d’une architecture grandiose et spectaculaire. Le dernier en date, le Musée du Louvre Abu Dhabi réalisé par le célèbre architecte Jean Nouvel.
Le musée a désormais une vision industrielle de rentabilité, en répondant à cette question: combien faudra-t-il de temps pour un retour sur investissement ? Ce qui est le propre de l’Industrie Muséale® développée par Artprice.
A contrario, l’économie du spectacle vivant confirme encore, en 2017, l’article fondateur de Baumol et Bowen qui met en évidence un différentiel de productivité touchant les arts, et particulièrement le spectacle vivant. En effet, pour jouer une pièce de Molière, il fallait en 1664 deux heures et douze acteurs. En 2017, il faut toujours deux heures et douze comédiens : aucun gain de productivité en plus de trois siècles.
L’Industrie Muséale® se base sur des données fondamentales
L’Industrie Muséale® se base sur des données fondamentales : la mutation du musée où l’on passe d’un concept issu du siècle des lumières dont l’origine est en France et où la fonction première est la confiscation des œuvres d’art aux aristocrates et l’Église pour les montrer au peuple par la volonté de Napoléon Bonaparte. Ce que les Sociologues appellent « la migraine du conservateur » par un parcours et une collection inscrite dans un ordre invariable. En effet, en moins de 30 ans, le musée qui est né en Europe et principalement en France au 18ème siècle était réservé à une élite jusqu’en 1980, dans sa première période, le musée échappe à toute logique économique pour se résumer à une mission de conservation sous le regard de l’institution publique.
Ces mêmes institutions publiques, 20 ans plus tard, ont franchiser le Musée du Louvre à Dubaï et le Centre Georges Pompidou à Metz. On peut donc vraiment parler de révolution culturelle quand la France, par ses plus hautes autorités conçoit désormais de franchiser le Louvre au même titre que le Guggenheim.
A l’image des cathédrales qui se dressaient autrefois vers le ciel, le Guggenheim attire les pèlerins venus contempler cette expression formelle apparemment miraculeuse : un monument dont l’évanescence et la géométrie hors du commun contribue à imposer une impression collective de chaos
Désormais depuis les années 80, Peggy Guggenheim, précédée par le visionnaire André Malraux, a démarré la mutation historique de la fonction et de la définition du musée.
Pour autant, Artprice démontrera que la maladie spécifique des musées « la migraine du musée » qui se diagnostique par un parcours immuable et figé de la collection du musée dans la période 1850/ 1980 est désormais définitivement guérie par la « révolution culturelle des musées ».
La nouvelle conception de ces derniers constitue, plus qu’un vestige d’un capital symbolique, une réponse au temps libre du public en offrant un espace où règne désormais les masses médias, le virtuel, les activités culturelles gratifiantes et les collections spectaculaires au cœur d’une expérience spatiale où les visiteurs se comptent, sur chaque continent, en millions.
Artprice sera la première à codifier le terme « d’Industrie Muséale® ». En effet, le musée, affranchi de sa contrainte étatique de conservation, doit se concevoir comme une industrie. En règle générale, il faut des investissements lourds sur une période de 8 à 10 ans pour créer, concevoir, construire et acquérir la collection du musée.
Une fois ces investissements lourds effectués, l’ouverture au public n’est pas limitée en nombre comme dans les arts vivants et les charges structurelles se résument principalement à de la maintenance, du marketing et de la restauration éventuelle de la collection. Désormais le musée a la capacité d’intervenir dans le Marché de l’Art comme acteur de référence.
Cette logique commerciale est poussée très loin par le Musée du Louvre qui commercialise sa marque vers des pays prospères comme les États-Unis ou les pays du Golfe. Mais le mot de la fin, de cette présentation de l’Industrie Muséale ® dans le monde en 2017 par Artprice revient à Malraux dans Le Musée imaginaire, où il s’attache en 1947 à analyser le phénomène muséologique :
« Le rôle des musées dans notre relation avec les œuvres d’art est si grand, que nous avons peine à penser qu’il n’en existe pas et qu’il en existe chez nous depuis moins de deux siècles. Le XIXe siècle a vécu d’eux, nous en vivons encore et oublions qu’ils ont imposé aux spectateurs une relation toute nouvelle avec l’œuvre d’Art. Ils ont contribué à délivrer de leur fonction les œuvres d’Art qu’ils réunissaient ».
Le Musée imaginaire de Malraux » où une fois de plus, ce visionnaire hors norme avait déjà écrit que: « le musée au 21ème siècle sera le lieu unique de tous les arts où convergeraient toutes les cultures, les générations et les différentes strates sociales ».
C’est à ces questions qu’ont su répondre avec génie l’acheteur et son pool financier du Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci mais aussi bien sûr l’audace de Christie’s cette semaine, qui vient de prendre un avantage spectaculaire face à sa rivale de toujours Sotheby’s. Cette dernière prépare dans les mois qui suivent, selon nos informations de source sûre, une réplique historique pour le Marché de l’Art face à sa rivale de toujours Christie’s qui vient de prendre un temps d’avance exceptionnelle dans ce célèbre duopole.
Si ce prix peut paraître démesuré pour certains au premier abord, il faut cependant qu’ils le mettent en perspective avec d’autres chiffres et raisonnement économique tangibles pour comprendre leur erreur d’appréciation.
Cette semaine par exemple, il s’est échangé 780 millions d’euros à la Bourse sur la seule action Altice.
Autre chiffre parfois avancé, l’équivalence du prix de Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci avec celui d’un Airbus A380. C’est exact, mais combien coûte la maintenance de cet avion tout au long de ses années d’exploitation ? Tout cela avec une durée de vie limitée, pour finir un jour dans un cimetière d’avions, à l’abandon. Cette comparaison est donc incohérente et profondément injurieuse.
En effet, le tableau de Leonardo Da Vinci, lui, est éternel et ne demandera pas un budget faramineux pour son entretien. Il prendra même de la valeur au fil des années. Des millions de personnes pour le voir apporteront leur contribution à travers la billetterie qui est un flux financier de cash, les produits dérivés, etc. que ce soit sur le lieu d’exposition habituel ou au cours d’une exposition itinérante à travers le Monde, qui est une tendance commerciale qui se confirme chaque année un peu plus.
C’est ce calcul d’une très grande limpidité qui a été fait par les investisseurs en amont, avec un timing très précis pour parvenir à la rentabilité. Cette acquisition est donc tout, sauf un acte irraisonné. C’est au contraire un investissement très organisé sur le moyen/long terme, il s’agit au regard des normes IFRS/IAS d’un actif corporel dégageant un free cash flow.
thierry Ehrmann: « La valeur ajoutée d’Artprice c’est de posséder la banque de donnée artistes cotés la plus importante du Monde (700 000), le nombre le plus important de résultats aux enchères, 126 millions depuis des siècles (de 1700 à nos jours) avec la méthode des ventes répétées qui permet de calculer une variation de prix, les multiples indices d’Artprice étant ensuite construit sur la base de ces variations individuelles.
Cette méthode vise à éliminer l’impact de l’hétérogénéité, chaque variation de prix étant calculée à partir de multiples transactions portant sur la même œuvre d’art grâce à la traçabilité parfaite d’Artprice sur 3 siècles de Marché de l’Art. Cela permet d’anticiper la construction d’un prix, comme nous l’avons fait pour cette vente historique. Surtout que nous disposons également d’indices spécifiques et d’outils économétriques qui sont autant d’aides à la décision.
C’est cette valeur ajoutée unique au Monde qui fait d’Artprice le Leader mondial, et qui est très prisée justement par les plus grands musées mondiaux afin de cibler au mieux leurs futurs achats, et donc affiner au mieux leur modèle économique et la rentabilité attendue de leurs nouvelles acquisitions ».
Le montant atteint par Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci propulse le Marché de l’Art dans une nouvelle ère, en changeant d’échelle la grille de prix en vigueur. En remontant d’autant le niveau du record, il est inéluctable que le prix atteint jusqu’alors pour de nombreux artistes prestigieux va remonter d’un cran. Il n’est pas impossible de voir sous peu un Basquiat à plus de 200 millions de $, tout est possible désormais avec le record de ce 15 Novembre 2017.
En 2018 Artprice auteur et concepteur de l’Industrie Muséale® depuis 1999 met en ligne la plus vaste Banque de données au Monde sur les Musées Fine Art
Artprice est l’auteur et le concepteur unique de l’Industrie Muséale®. Depuis près de 20 ans Artprice accompagne la mutation de ses clients, les Musées de Fine Art, qui représentent un de ses cœurs de cible économique. La demande du Musée est essentiellement une migration vers le numérique, l’Internet et les réseaux sociaux.
Artprice dispose d’une trentaine de DNS avec les meilleurs génériques mondiaux depuis 1996 sur les Musées qui génèrent un très gros volume d’activité. Il est bon de rappeler qu’Artprice connaît parfaitement l’univers muséal et son fonctionnement interne avec son siège social le célèbre Musée d’Art Contemporain L’Organe gérant La Demeure du Chaos / Abode of Chaos dixit The New York Times.
Ce Musée d’art contemporain (3600 reportages en 18 ans) qui a fait largement ses preuves en étant d’une part le 1er Musée français à être inscrit au Registre du Commerce des Sociétés en 1999 et d’autre part en se classant comme 1er Musée d’Art Contemporain privé en Rhône Alpes Auvergne avec 120 000 visiteurs par an. (Toutes ces informations sont sur les documents de référence Artprice sur le site homologué de l’AMF).
Cette Banque de données par son nombre de clients Musées sera en 2018 au cœur de la stratégie d’Artprice. Le chiffre d’affaires sur l’Industrie Muséale® est colossal. Artprice possède, par son savoir-faire issu du Musée l’Organe son siège social et sa propre R&D, une gamme de produits et services numériques couvrant tout le spectre des demandes d’un Musée où qu’il soit dans le Monde en 2018.
Artprice fera bénéficier ses clients Musées présents sur sa Banque de données des 4,5 millions de membres ultra qualifiés. Les nombreux dépôts et brevets au titre de la propriété intellectuelle donne à Artprice une position incontestable de Leader mondial sur l’Industrie Muséale® et un temps d’avance définitif.
Un communiqué financier extrêmement précis sera diffusé en information réglementée début Décembre 2017
www.artprice.com Copyright thierry Ehrmann 1987/2017
A propos d’Artprice :
Artprice est cotée sur Eurolist by Euronext Paris, SRD long only et Euroclear : 7478 – Bloomberg : PRC – Reuters : ARTF.
Artprice est le Leader mondial des banques de données sur la cotation et les indices de l’Art avec plus de 30 millions d’indices et résultats de ventes couvrant plus de 657 000 Artistes. Artprice Images® permet un accès illimité au plus grand fonds du Marché de l’Art au monde, bibliothèque constituée de 126 millions d’images ou gravures d’œuvres d’Art de 1700 à nos jours commentées par ses historiens.
Artprice enrichit en permanence ses banques de données en provenance de 6300 Maisons de Ventes et publie en continu les tendances du Marché de l’Art pour les principales agences et 7200 titres de presse dans le monde. Artprice met à la disposition de ses 4,5 millions de membres (members log in), les annonces déposées par ses Membres, qui constituent désormais la première Place de Marché Normalisée® mondiale pour acheter et vendre des œuvres d’Art à prix fixe ou aux enchères (enchères réglementées par les alinéas 2 et 3 de l’article L 321.3 du code du commerce). Artprice labellisée par le BPI développe son projet de Blockchain sur le Marché de l’Art.
Le Rapport Annuel Artprice du Marché de l’Art mondial 2016 publié en mars 2017 :
https://fr.artprice.com/artprice-reports/le-marche-de-lart-en-2016
Le rapport du Marché de l’Art Contemporain 2016 d’Artprice est accessible gratuitement à l’adresse:
https://fr.artprice.com/artprice-reports/le-marche-de-lart-contemporain-2016
Communiqué d’ARTE : A la tête de La Demeure du Chaos/ Abode of Chaos dixit « The New York Times », thierry Ehrmann, artiste et fondateur d’Artprice dévoile en 9 épisodes les rouages des plus gros esclandres de l’art contemporain, qui garantissent à coup sûr des expositions blockbusters http://creative.arte.tv/fr/artscandale
Sommaire des communiqués d’Artprice :
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